La fin d’où nous partons – Megan HUNTER
Ce roman a une forme particulière qui m’a fait penser à des gouttes d’eau tombant une à une sur la page. Je m’explique : des paragraphes ultras courts de 2-3 phrases espacés par du blanc. Une narration discontinue qui s’attache aux détails et qui rend l’ensemble du tableau difficile à comprendre.
Je ne me suis donc pas attachée aux personnages désignés par leur initiale.
L’aspect fin du monde ne m’a paru qu’un prétexte, si ce n’est la forme de l’eau présente dans le fond et dans la forme.
La relation de la jeune femme avec son fils Z ne m’a pas ému.
Seuls les paragraphes en italique qui sont des citations m’ont paru poétiques.
Un livre lu le temps d’une soirée mais qui ne m’a pas convaincu.
L’image que je retiendrai :
Celle des bateaux tant attendus.
Gallimard, 1 février 2018, 176 pages
Cathulu m’avait donné envie de le découvrir
12 commentaires
krolfranca
Bonne nouvelle, un livre à ne pas noter.
Alex-Mot-a-Mots
Il ne m’a absolument pas convaincu.
She reads a book
Ah bah le style et la construction ont l’air bizarres, je ne sais pas si j’arriverai à adhérer…
Alex-Mot-a-Mots
Ca n’a pas été le bon moment pour moi.
aifelle
Pas de tentation ici ce matin, ouf 😉
Alex-Mot-a-Mots
Désolée…
Eve-Yeshé
et bien pas de tentation pour aujourd’hui! ouf, ma PAL te remercie 🙂
Alex-Mot-a-Mots
Je n’ai vraiment pas apprécié cette lecture.
l'or rouge
Ça semble très bizarre, les paragraphes très courts j’ai du mal à faire avec…
Alex-Mot-a-Mots
Ca a complètement gâché ma lecture, entre autres.
l'or rouge
Je l’avais pourtant repéré chez cuné et cathulu
Alex-Mot-a-Mots
Cathulu en a fait un coup de coeur, je crois.