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Les anges sans visage – Tony PARSONS

lesangessansvisageEditions de La Martinière, 15 septembre 2016, 347 pages

Présentation de l’éditeur :

Nous sommes à Londres. Max Wolfe, enquêteur au coeur tendre, flanqué de sa petite fille et de son chien (un Cavalier King Charles), doit faire face de nouveau à la noirceur et la violence du Londres des beaux quartiers.

Une famille aisée, bourgeoise, est retrouvée massacrée dans sa demeure du nord de la ville, le lendemain des fêtes du Premier de l’an. On retrouve les corps du père, de la mère, et de deux adolescents. Mais le plus jeune enfant manque à l’appel. A-t-il été enlevé ?

Les victimes ont par ailleurs été assassinées avec un pistolet d’abattage, qui sert habituellement à tuer les gros animaux de boucherie avant qu’on ne les égorge à l’abattoir. Max Wolfe finit par retrouver la trace, grâce aux archives du Black Museum (le musée de Scotland Yard) d’un serial killer, qui, 30 ans plus tôt, utilisait cette arme pour son modus operandi. Mais « l’équarisseur » est aujourd’hui un homme grabataire, mourant. Impossible de penser qu’il a commis ces meurtres. Alors quoi, un copycat, un vulgaire imitateur ? Ou bien quelqu’un qui cherche, au contraire, à piéger l’ancien meurtrier ?

Mon avis :

Je retrouve avec plaisir Max Wolfe, sa fille Scout et son chien Stan.

Max s’entraîne toujours à la boxe, même si dans cet épisode, ses blessures profondes l’éloigneront quelque temps de la salle de sport. Car dans cet opus, il y en a des policiers blessés. Ca change.

Toujours le black Museum, même si j’ai trouvé cette fois-ci qu’il n’apportait rien à l’avancée de l’histoire.

Le plus intéressant dans ce second volet a été pour moi la découverte (merci Google images) des quartiers hyper cossus de la capitale britannique. Chouettes baraques un tantinet clinquantes.

L’image que je retiendrai :

Celle de Scout déguisée en Belle pour l’anniversaire de son amie. Son père célibataire a dû s’occuper de lui trouver son costume.

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