Philippe Rey, 7 mai 2015, 348 pages
Présentation de l’éditeur :
L’histoire de la danseuse Isadora Duncan, née en 1877 à San Francisco, dans une famille de quatre enfants, abandonnée par le père. A l’âge de 22 ans, elle entraîne sa famille en Europe où elle connaîtra un succès fulgurant en révolutionnant la danse par sa liberté d’expression.
Mon avis :
Quelle vie que celle de cette artiste hors norme qui danse pieds nus, juste vêtue d’un voile. Sans chausson, sans tutu, sans pas codés ; libre.
L’auteure nous donne à voir une enfant puis une femme ivre de vie, qui danse passionnément ou ne danse pas. Une femme qui court après l’argent, également, devenue dispendieuse avec l’âge.
Une femme qui a su s’affranchir du clan familial et notamment de sa mère, pour fonder sa propre école de danse, qui déménagera de nombreuses fois au gré des errances d’Isadora.
Une femme brisée par trois chagrins successifs, mais qui a gardé un appétit de vivre jusqu’au bout. Jusqu’à cette mort cruelle si délicatement annoncée par l’écrivain, en filigrane.
Un écrivain qui a su me faire sentir combien la danse et le geste d’Isadora était libre.
L’image que je retiendrai :
Celle d’Isadora dansant sur des musiques et des poèmes différents.
Un mythe
Tout à fait.
une femme libre qui vivait par et pour la danse…
pas pour tout de suite mais pourquoi pas?
Un roman passionnant sur cette artiste.
Isadora m’avait marquée lorsque j’avais appris les circonstances de sa mort, quand j’étais au collège…
J’ai été très étonné de l’apprendre dans ce roman.
Un rêve qui finit dans les larmes
Biz Alez
Comme souvent….
Bises
Elles ont toutes eu des destins tragiques. Elle meurt bêtement.
Bêtement, en effet !
Un livre et une histoire qui pourrait intéresser ma fille… Je le note pour elle.
Si elle aime la danse, il est pour elle.