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De mort naturelle – James OSWALD

mort-naturelle

Bragelonne, 17 juin 2015, 456 pages

Présentation de l’éditeur :

Lorsque la police d’Edimbourg découvre l’assassin d’un des citoyens les plus respectés de la ville moins de vingt quatre heure après le meurtre, tout le monde est logiquement satisfait. Le tueur s’étant suicidé, la cité économise de plus le prix et le temps d’un procès.

Un deuxième meurtre se produit quelques jours plus tard et comporte d’étranges similitudes avec le premier. Là encore, l’auteur du meurtre confesse son crime avant de mettre fin à ces jours.

L’inspecteur Anthony McLean est quant à lui chargé d’enquêter sur la découverte d’une cadavre d’une jeune fille, emmurée dans la cave d’un ancien manoir d’Edimbourg. Elle a été brutalement assassinée suivant un rituel particulièrement macabre. Aussi lorsqu’un homme d’affaire influent de la ville est à son tour assassiné, McLean commence à suspecter l’existence d’un lien entre les meurtres, les suicides et la découverte de la jeune fille mutilée…

Mon avis :

Je découvre le premier roman policier de cet auteur, plus connu en littérature fantastique. Et je ne suis pas déçue, tant par l’intrigue que par les personnages, sans oublier la ville en toile de fond.

L’intrigue est intéressante et bien menée, avec le collègue empêcheur d’enquêter en rond et qui n’a de cesse de mettre des bâtons dans les roues.

Les personnages, ensuite, qui sont esquissés, laissant prévoir une suite afin d’approfondi leur caractère et leur passé respectif.

La ville, enfin, en toile de fond.

Un bémol tout de même pour les noms de famille des différents intervenants qui commencent tous par Mac…..  

Et puis un rien de fantastique en toute fin d’enquête.

Bref, j’ai passé un bon moment avec ce roman.

Mon Cher et Tendre n’a pas aimé du tout la fin, trop fantastique et incrédule à son goût.

L’image que je retiendrai :

Celle de l’amie de McLean qui tient une boutique de frippes et qui s’habille avec de vieux vêtements des années 30-40.

Je remercie l’opération Masse Critique de Babelio pour l’envoi de ce roman.

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