La boussole d’Einstein – Gilles VIDAL
Ce que j’aime dans les polars, c’est quand ils me racontent un pan d’Histoire méconnue, ou qu’ils me parlent d’une façon nouvelle de la société dans laquelle je vis.
Ce roman de Gilles Vidal rempli la première clause.
L’enquête est presque classique : Felix Meyer arrive de son île espagnol pour les obsèques de sa soeur, gravement défigurée par un chauffard.
Mais Meyer n’est pas n’importe qui, on le découvre petit à petit au fil des pages : il a de mystérieux correspondants qui font avancer son enquête, et il a le coup de poing efficace.
Son talon d’Achille : il tombe amoureux de la jeune commissaire en charge de l’affaire.
Si j’ai trouvé certains passages un peu rapides, j’ai aimé suivre Meyer dans la découverte de cette soeur bien mystérieuse.
Un bon moment de lecture.
L’image que je retiendrai :
La dernière : celle de la boussole donnée par son père au petit Albert Einstein.
Oncle Paul m’avait donné envie de découvrir ce roman.
Lu sur Liselotte grâce aux éditions Zinedi que je remercie infiniment
8 commentaires
Oncle Paul
Merci Alex, mais, ce ne serait pas la première clause ? Disons que l’histoire n’est pas fermée….
Alex-Mot-a-Mots
Tu penses qu’il y aura une suite ?
Oncle Paul
Non, disons que c’est un jeu de mot entre close (fermée) et clause (pacte comme tu le sous entendais dans clause remplie…
Alex-Mot-a-Mots
😉
coupsdecoeurgeraldine
Pareil, j’aime la même close, parce que via le romanesque, j’en retiens beaucoup plus que dans les livres d’histoire, si toutefois ceux-ci rapporte ces petits faits parfois méconnus mais qui étoffent et expliquent une époque !
Alex-Mot-a-Mots
Roman noir, mais pas trop noir non plus.
coupsdecoeurgeraldine
Euh… Clause du coup 😉
Alex-Mot-a-Mots
Tout à fait.