Le diable parle toutes les langues – Jennifer RICHARD
Magnat de la presse, de la finance et du pétrole, ami et complice de tous les chefs d’État, mais également mécène de toutes les causes, son influence sur le monde a été aussi néfaste qu’invisible.
De la boue des tranchées aux hôtels de luxe à Monaco, de la répression des grèves à l’assassinat de Jaurès, de Cuba à la Namibie en passant par les Balkans, il a profité de tous les conflits armés et sociaux.
Jusqu’à son dernier souffle, il a manœuvré sans éthique et sans remords pour nourrir la guerre.
Basil Zaharoff, éminence grise des grandes puissances, légendaire marchand d’armes du XXe siècle, est ce diable qui parle toutes les langues. Magnat de la presse, de la finance et du pétrole, ami et complice de tous les chefs d’État, mais également mécène de toutes les causes, son influence sur le monde a été aussi néfaste qu’invisible.
De la boue des tranchées aux hôtels de luxe à Monaco, de la répression des grèves à l’assassinat de Jaurès, de Cuba à la Namibie en passant par les Balkans, il a profité de tous les conflits armés et sociaux.
Jusqu’à son dernier souffle, il a manœuvré sans éthique et sans remords pour nourrir la guerre.
Basil Zaharoff, éminence grise des grandes puissances, légendaire marchand d’armes du XXe siècle, est ce diable qui parle toutes les langues et qui devient un personnage dans Tintin.
Un roman qui pose la question de ce que nous faisons de notre liberté..
Cette biographie romancée aurait pu être intéressante si l’auteure n’était pas partie dans tous les sens : nous suivons tour à tour Basil dans sa vie depuis l’enfance jusqu’à sa mort, mais également de plus près lors de ses dernières années de vie avec sa fille qui découvre son journal intime.
Je n’ai pas aimé les longues descriptions et les énumérations à n’en plus finir.
Il m’a manqué un supplément d’âme pour me faire adhérer aux propos de l’auteure. Tant pis.
L’image que je retiendrai :
Celle du vieil homme que seules les sucreries réjouissent.
Albin Michel, 6 janvier 2021, 432 pages
Lu grâce à ma librairie préférée et au Prix RTL-Lire
13 commentaires
Eve-Yeshé
je passa mon tour, je n’aime pas quand il y a des descriptions à n’en plus finir …
J’ai choisi de lire « soit dit en passant » l’autobiographie de Woody Allen et on est noyé sous un flux de détails, sans réelles importances… je fais une pause et je vais survoler…
autant j’aime sa diarrhée verbale dans ses films autant à lire c’est pénible 🙂
Alex-Mot-a-Mots
Je suis tout à fait d’accord avec toi !
manou
J’aurais aimé le découvrir car le titre me plaît et la couverture aussi 🙂 Dommage en effet mais mon carnet est tellement plein que je ne le note pas…Merci pour ton ressenti !
Alex-Mot-a-Mots
Des pages en moins, car ce roman en contient beaucoup.
coupsdecoeurgeraldine
Je n’ai jamais entendu parler de cet « illustre » personnage. Et vu tes bémols, je ne ferai pas sa connaissance via ce bouquin 😉
Alex-Mot-a-Mots
Une vraie déception de lecture.
La culture dans tous ses états
Tu m’évites de le lire et de perdre mon temps. Il était dans ma PAL mais j’oublie ce titre
Alex-Mot-a-Mots
Ceci dit, si tu le lis et qu’il te plait, j’aimerai tout de même avoir ton avis.
La culture dans tous ses états
Je vois que tu lis le Delia Owens en ce moment, celui là je l’ai adoré !
Alex-Mot-a-Mots
Oui, je l’aime beaucoup.
La culture dans tous ses états
Hâte de lire ta chronique sur ce très beau roman !
Une Comete
Je l’ai commencé et je ne le trouve pas inintéressant … un peu verbeux peut être. Mais je n’en suis pas encore à la moitié !
Alex-Mot-a-Mots
Trop verbeux pour moi, je l’ai fini en diagonal.