Un roman à quatre mains pour des « bleus » dans le monde du roman policier, je ne pouvais refuser un pareil titre.
Et d’entrée de jeu, le doute s’installe : pourquoi Elle, Pauline, parle-t-elle avec son père mort ? Elle qui est justement la voisine de la victime sauvagement assassinée ?
Et Lui, Arsène, nouveau à la BRI qui commet bourde sur bourde malgré toute sa bonne volonté.
Pourtant on s’attache à ces personnages qui s’attachent entre eux, même si il ne faut pas entre un enquêteur et la voisine de la victime.
J’ai aimé les fausses pistes et le tueur insoupçonnable.
J’ai moins aimé que les filles trottinent en début de roman, tic d’écriture qui heureusement s’arrête en cours de route.
Un roman proche du terrain puisque la plume masculine du duo est lui-même policier.
L’image que je retiendrai :
Celle des bocaux de piment d’espelette collectionnés par Pauline.
Plon, 12 avril 2018, 324 pages
Je remercie Valérie chez Edi8 pour l’envoi de ce roman en avant-première
pourquoi pas, mais je lis moins de polar en ce moment.
Ca reviendra sans doute.
J’vois ps le rapport entre la BRI et les piments d’Espelettes
Bisous Alex et BonWik
Et pourtant…
Bises
c’est un genre que je devrais aimer… mais qu’est-ce que c’est que ces filles qui trottinent? c’est un peu péjoratif, non?
Je trouve aussi.
ta critique me tente, je pense que je vais explorer ce duo!!
J’ai passé un très bon moment de lecture en leur compagnie.
Bon dimanche Alex, bisous
Bonne semaine à toi.
Bises