
C’est, je crois, ce qui m’a le plus frappé à la lecture : ces senteurs sauvages.
Si la traversée de l’héroïne jusqu’à la capitale impériale ne m’a pas passionnée, j’ai en revanche préféré le concours de parfum et l’idée du jeune empereur : crée un parfum évoquant une jeune fille traversant un pont dans la brume.
Les pages sur l’amour entre Miyuki et son mari sont magnifiques et sensuelles.
L’image que je retiendrai :
Celle des carpes transportées à dos de Miyuki sur des centaines de kilomètres.
Le livre de poche, 10 janvier 2018, 384 pages
J’avais acheté un livre de cet écrivain l’an dernier, au début de l’été, en vue de me mettre dans l’ambiance de la Fête du Livre de Saint-Etienne. Il attend toujours d’être lu, hélas…
Ce sera pour celle de cette année, j’en suis certaine.
Et ça sent comment une jeune fille sur un pont ?
Bises Ales et bonne fin de lundi
Il te faudra lire le roman pour le savoir…
Bises
Mais oui, je l’avais noté, puis d’autres sont venus…
Une lecture agréable en cet été de fortes chaleurs.
J’ai prévu de le lire, tôt ou tard.
Une lecture presque intemporelle.
j’ai noté cet auteur mais je n’ai rien lu de lui alors pourquoi pas celui-ci la couverture me plaît le Japon aussi 🙂
Alors ce roman est pour toi.
Je passe mon temps à me dire qu’il faudrait que je relise Didier Decoin.
Pour ma part, je vais commencer par le lire….
pour la fraicheur, pourquoi pas :)!
Exactement !
J’avais beaucoup aimé ce livre très poétique.
Ah oui, ça semble très beau, j’aime beaucoup l’idée du parfum d’une jeune fille sur un pont dans la brume, c’est poétique.
Une lecture qui me semble faite pout roi.